Histoire de Lauris

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'D20' : 5

Hoshiko, toi tu es attirée par une poule, elle se fait courser par un vieux chien. Tu t'en amuse car la poule plus vive fait tourner le chien en bourrique. Au final tu ne sais plus si c'est le chien qui joue avec la poule ou la poule qui joue avec le chien.

Frorin tu arrive a remarquer sur le poignet des gens un sorte de symbole comme un huit. Chaque personne que tu vois a ce symbole. Certain semble poser deux doigts dessus, comme une sorte d'habitude qu'ils auraient.
Tu remarque aussi qu'un jeune homme vous surveille, a sa façon de se comporter, tu devine qu'il vous surveille depuis un certain temps. Il est tombé dans la facilité et certaines petites erreurs dans sa surveillance traduisent une sorte d'habitude.

Juste pour être claire Hoshiko, n'a rien vu de ce que frorin a vu. Tant que frorin ne dis rien elle n'est au courant de rien.

Hoshiko reste sur tes gardes, ces gens sont bizarre, ils ont tous une sorte de tatouage en forme de huit sur le poignet.
Reste vraiment vigilante.

Pendant que Frorin te parle vous vous approchez de chez Mayor, au moment ou Frorin te parle du tatouage, tu arrive a ton tour a le voir sur chaque passant.
Hoshiko, souhaite tu dire ou faire une dernière chose avant de rentrer chez Mayor?

– Frorin... C'est beaucoup trop bizarre, quelque chose cloche, vraiment, j'ai l'impression... Que nous ne sommes pas... Je ne sais même pas si je peux le dire... On dirait que ce n'est pas la réalité ici.

Pour cette déduction pas si lointaine de la réalité, je t'accorde un avantage.

A utiliser quand tu veux pour qu'une action tourne un peu plus en ta faveur. Tu dois me dire que tu utilise ton avantage avant de lancer le dé si tu veux l'utiliser.

Vous entrez chez Monsieur Mayor, il semble vous attendre.

Il a une petite tête ronde avec des petit yeux rond et surtout une énorme moustache qui ne semble pas avoir de fin. Il vous apparait clairement comme étant LE notable du village.

Sans vous laissez le temps de réagir, il prend la parole.

- Mes amis, je vous attendais. Je vous dois des explications. Vous êtes ici dans le village de Lauris dont je suis le bourgmestre. Vous avez du remarquer des gardes a chaque entrée du village. Je ne vouliez pas que vous sortiez. Ce village est un village magique qui a entre autre pour propriété d’être caché. Il n'est pas visible de l’extérieur. Si vous étiez sorti vous n'auriez jamais pu revenir.
Vous êtes malins, je suis sur que vous avez vu la marque en forme de huit sur chaque personne. Cette marque permet de retrouver le village et d'y entrer.

Si j'ai bien compris notre ami commun vous avez besoin d'un premier travail?

Cet homme m'intrigue tant.
– Je suppose. Pourquoi avons nous besoin d'un travail ?
Je suis presque collée à Frorin, peut-être de peur qu'une force étrangère nous sépare, je ne suis pas rassurée ici.

Mayor te regarde Hoshiko et te répond :

- Ma petite notre aubergiste est gentil mais il ne travaille pas pour la gloire. Vous ne pouvez pas rester a l'auberge sans payer votre chambre et vos repas.

Et puis je ne pense pas que vous puissiez rester définitivement ici. Notre ami commun vous a extrait de la prison aussi pour pas que vous soyez retrouvé facilement. Si vous restez ici trop longtemps le problème sera le même.
Le monde est en crise, vous représentez un espoir pour certain et un grand danger pour d'autre. Ces autres voudrons sans doute vous éliminer.
Dans ce cas avoir un petit pécule, vous permettra de vivre plus facilement a l'extérieur du village.

– Je vois, entendu. Qu'avez vous à nous proposer ?

Un petite mission, extrêmement bien payée, une pièce d'or chacun minimum.

La condition de votre libération, c'est de nous transmettre toute info qui semble étrange si je me souviens bien.
Quelque chose d'étrange se passe ici.

Nous avons un troupeau de moutons, et il y a quelque chose de bizarre. Ils se comporte comme s'ils avaient vu le loup. Le seul soucis c'est que tous les moutons sont tous la. Un loup en général emporte au moins un mouton...

Votre mission c'est de garder les moutons et surtout de voir ce qui fait peur aux moutons.

– Entendu. Combien sont-ils en tout ?

Ils sont 50, nous limitons notre troupeau a 50 têtes.

– Bien, merci. Allons-y Frorin. Aurevoir.
Et nous nous dirigeons vers ces fameux moutons. 50... 50 moutons, comment va-t-on les compter...